Quelles sont les différences entre le procédé Ecobulles et les autres solutions du marché ?
Quelles sont les différences entre le procédé Ecobulles et les autres solutions du marché ?
Vous pensez tout savoir sur le principe de fonctionnement d’un adoucisseur au sel ?
Voici dans les détails comment ça marche.
Sachez que TOUS les adoucisseurs au sel fonctionnent de cette façon, quelle que soit leur qualité, leur origine ou leur date de fabrication.
Prêt ?
Découvrez maintenant le principe de fonctionnement d’un Ecobulles.
* Comparatif bâti avec le concours de bureaux d’études, d’installateurs et d’utilisateurs…
Vous pouvez avoir accès à des infos complémentaires en consultant notre FAQ.
Survolez les points de comparaison pour en savoir plus.
?L’Ecobulles est très peu encombrant : Il est composé de 3 modules dissociés : un module Hydraulique intégré dans la canalisation, un boitier électronique et un module CO2. Le CO2 est conditionné en bouteilles ou en un seul contenant (un Rembo chez AIR LIQUIDE). Ces 2 modes de conditionnements prennent peu de place comparés aux adoucisseurs au sel.
?Très peu de procédés sont équipés d’une alerte fin de sel.
?Vert pour les 2 technologies car : traiter le calcaire est toujours plus économique que de ne pas le traiter ; elles sont l’une comme l’autre d’une efficacité incontestable, Le coût du consommable n’est pas le seul critère à prendre en compte (voir le détail ci-dessous). Chaque cas étant particulier, seule une étude vous permettra un comparatif réaliste. Le coût du sel est assez bas en France. Cependant, dans le coût global du m3 d’eau traité par les adoucisseurs au sel, il faut intégrer les éléments suivants : le coût lié à la surconsommation d’eau, le coût de maintenance et d’entretien de l’appareil, le coût en MO pour la manipulation des sacs de 25 kg de sel (recharge de l’adoucisseur et réapprovisionnement du stock), les coûts engendrés par les dégradations liées au sel (souillures, corrosion…) et dans certain cas lorsque la place est rare, le coût de la surface de stockage du sel (plusieurs palettes en cas de forte consommation d’eau)…, Chaque cas étant particulier une étude doit être réalisée pour chaque installation.
?Vert pour les 2 technologies car : traiter le calcaire est toujours plus économique que de ne pas le traiter ; elles sont l’une comme l’autre d’une efficacité incontestable, Le coût du consommable n’est pas le seul critère à prendre en compte (voir le détail ci-dessous). Chaque cas étant particulier, seule une étude vous permettra un comparatif réaliste. Seul le coût du CO2 impacte réellement le coût du m3 d’eau traitée. En effet, avec la technologie Ecobulles : il n’y a pas de surconsommation d’eau, la maintenance est très faible, par rapport au sel, il y a peu de manipulations pour les bouteilles de CO2 et il n’y en a aucune dans le cadre d’une citerne, il n’y a aucun risque de dégradations des locaux de stockage, le stockage du CO2 ainsi que l’appareil nécessitent une très faible surface au sol, les installations des bâtiments anciens vont retrouver leurs performances initiales car la technologie ECOBULLES va éliminer le calcaire existant. Chaque cas étant particulier une étude doit être réalisée pour chaque installation.
?La technologie au CO2 consiste à solubiliser le calcaire sous forme de bicarbonates de calcium et de magnésium. Elle ne retire donc pas les éléments minéraux. Après évaporation de l’eau, il apparait tout naturellement des traces de bicarbonates. Ainsi, ces traces se retrouvent sur les parois des fours vapeurs et également dans les lave-vaisselles et lave-verres. Même si ces traces de bicarbonates ne sont pas incrustantes, nous préconisons l’utilisation de solutions de filtration écologiques à base de charbon actif. Elles présentent l’avantage de ne pas avoir à traiter l’ensemble du bâtiment en eau adoucie mais uniquement les appareils concernés. De plus, ces solutions n’entrainent aucune surconsommation d’eau et aucun rejet de chlorures.
?Bien réglés les 2 procédés ne présentent aucun risque de corrosion ou d’agression sur les canalisations. Difficile toutefois de trouver la fourchette de valeurs qui caractérise un adoucisseur au sel « bien réglé » tant les pratiques et préconisations varient d’un fabricant d’adoucisseurs à un autre, d’un installateur à un autre…, ou même de fabricants d’équipements comme Atlantic qui préconise un TH de 15°F alors que Viessmann préconise un TH de 18°F…
?La majorité des fabricants d’adoucisseurs au sel donne une durée de vie de 10 ans maximum (Liée à la résine).
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